Répartition des inscriptions au CRPE 2019

Voici la répartition des inscriptions au CRPE 2019 par académie et par concours.

Pour info, ICI les chiffres du bilan 2017 et 2018.

Les inscriptions aux CRPE 2019 sont closes depuis le 11 octobre dernier et nous sommes encore en attente du nombre de postes offerts pour la session 2019.
93 302 candidats se sont inscrits aux CRPE de la session 2019.
Les concours externes enregistrent un nombre d’inscriptions en hausse d’un peu plus de 4% (environ 3000 inscriptions de plus qu’en 2018).
Les inscriptions aux 3ème concours et concours internes du CRPE sont, elles, en légère baisse par rapport à la session 2018.
Répartition des inscriptions aux CRPE 2019 :
Académie
Concours externe
Rappel Concours externe 2018
Concours externe spécial
3èmeconcours
Second concours interne Second concours interne spécial Premier concours interne
Aix-Marseille
4 158
3 699
782
16
Amiens
1 933
1 663
508
Besançon
1 120
999
170
109 2
Bordeaux
4 493
4 078
59
712
309 3 16
Caen
1 794
1 464
140
111 3
Clermont-Ferrand
1 409
1 327
200
134 4
Corse
357
334
104
71
1
Créteil
4 514
4 772
1279
449 19
Dijon
1 569
1 433
268
2
Grenoble
3 133
3 041
467
17
Guadeloupe
698
753
16
156
73
Guyane
766
803
31
118
139 11
La Réunion
2 042
2 147
35
822
242 21
Lille
4 000
3 930
937
12
Limoges
1 034
848
122
1
Lyon
4 503
4 188
626
247 7
Martinique
753
755
31
143
88
Mayotte
875
866
243 100
Montpellier
3 541
3 825
45
828
380 9
Nancy-Metz
1 698
1 703
8
327
1
Nantes
3 424
3 543
10
599
Nice
2 185
2 210
541
216
Orléans-Tours
2 938
2 331
369
169 3
Paris
2 346
2 513
374
143 9
Poitiers
2 196
1 784
304
184 4
Polynésie Française 262 221 10
Reims
1 151
1070
183
4
Rennes
3 050
2936
101
538
20 6
Rouen
1 820
1765
294
5
Strasbourg
1 777
1733
108
249
26 5
Toulouse
3 575
3640
33
518
305 8
Versailles
5 277
5001
1 326
448 22
TOTAL
74 391
581
13 974
3 989 49 318
TOTAL 2018 71 375 561 14 517 4 053 63 733

Rythmes à Strasbourg : les différents cas de figure suite aux décisions prises en Conseil d’Ecole

Le Maire de Strasbourg a annoncé la proposition qu’il fera aux Conseils d’Ecole de chacune des écoles (5 matinées de 3h30, 3 après-midis de 2h00, raccourcissement des vacances). Voici les différents cas de figure selon le positionnement pris par votre Conseil d’Ecole :

1) le CE se prononce en faveur de l’organisation proposée par le Maire : cette dernière pourrait être mise en place dans l’école si l’IA-Dasen le décidait.

2) le CE se prononce contre cette organisation : c’est l’organisation actuelle qui pourrait être reconduite mais pas obligatoirement.
En effet, si une majorité de CE se prononce en faveur de l’organisation proposée par le Maire, l’IA-Dasen peut décider d’imposer cette organisation à toutes les écoles de la commune (D521-12, II 2° dernier alinéa).

 

Rythmes à Strasbourg… une provocation ?

Le maire de Strasbourg vient de rendre publique sa “proposition” de rythmes scolaires pour la rentrée 2019.
Il  propose :
– un maintien des 5 matinées d’école.
– 3 après-midis de classe. La nouvelle après-midi libérée permettrait  de conserver les activités péri-éducatives.
– Les vacances d’été seraient raccourcies d’une semaine fin août.

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Promotions 2018/2019 : Formulaire de suivi et explications

Ma carrière  : Impact des RDV de carrière
sur les promotions classe normale- 

Depuis le 1er septembre 2017, le changement d’échelon se fait à la même vitesse pour tous, sauf aux 6ème et 8ème échelons.
A l’échelon 6 et au 8, suite aux RDV carrière de l’année précédente, 30% des collègues passent un an plus tôt aux 7ème et 9ème échelons : ils auront un « boost » d’un an. Sinon, les passages d’échelons sont automatiques.

Ça se décide quand ?
Les changements d’échelon sont validés par une CAPD, une fois par an, en général en décembre/janvier. Ils concernent les collègues qui sont promouvables durant l’année scolaire (entre le 1er septembre 2018 et le 31 août 2019).

Les durées d’échelon dans la classe normale :

1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11
1 an 1 an 2 ans 2 ans 2,5 ans 3 ou 2a 3 ans 3,5 ou 2,5a 4 ans 4 ans

Qui bénéficiera du boost ?
A ce jour, les critères qui détermineront les 30% de collègues qui bénéficieront du boost pour la campagne 2018/2019 ne sont pas encore connus. C’est chaque DSDEN qui peut fixer ses critères départementaux.

Ce qu’en pense le SE-Unsa :
Il faut absolument pondérer l’appréciation finale issue du RV de carrière. Pour nous, l’ancienneté dans la carrière doit être valorisée. De la même manière, les collègues qui entrent dans l’éducation nationale en 2nde carrière, de plus en plus nombreux, sont toujours désavantagés lors de leur départ en retraite. Il faut donc que l’âge intervienne aussi dans le barème.

Comment faire parvenir mes infos aux représentants des personnels ?
Complétez le suivi en ligne :

Campagne terminée

Résultats des élections professionnelles : MERCI !

Merci à vous, collègues PE et instituteurs, qui avez voté Unsa !

Grâce à vos suffrages, le SE-Unsa est pour 4 années toujours majoritaire en CAPD du Bas-Rhin.
SE-Unsa : 1389 voix, 5 sièges
Snuipp-FSU : 1093 voix, 4 sièges
FO : 370 voix, 1 siège
Le Sgen-CFDT quitte la CAPD.

 

 

 

 

 

 

 

Au CTA de Strasbourg, l’Unsa toujours première !
Unsa éducation : 3078 voix, 3 sièges
FSU : 2993 voix, 3 sièges
Sgen-CFDT : 2094 voix, 2 sièges
FO : 895 voix, 1 siège
SNALC : 855 voix, 1 siège

CTSD du 29 novembre 2018 bilan de rentrée : notre liminaire

  

Déclaration liminaire

CTSD du 29 novembre 2019

Monsieur le Président,
Mesdames et Messieurs les membres du CTSD,

Nous sommes réunis ce jour pour faire le bilan d’une rentrée que Monsieur Launay souhaitait sereine. L’a-t-elle été ? Selon vous, Monsieur le Président, sans doute. Selon l’UNSA Education beaucoup moins.

Au niveau national en guise d’introduction.

Alors que lors de son arrivée au ministère, Monsieur le Ministre de l’Education nationale a précisé qu’il ne ferait pas « une nouvelle loi », la réalité est tout autre. Lors du CTMEN du 18 octobre dernier, c’est bien un projet de loi qui a été présenté. Le projet de loi pour l’Ecole de la confiance. Et il s’agit bien d’une loi d’évolution si ce n’est de transformation pour l’Ecole. Elle l’est de par son intitulé et de par les transformations envisagées. Le concept de « confiance », concept régulièrement affirmé et réaffirmé par Monsieur Blanquer, ne semble pourtant pas être la règle dans les relations entre les acteurs du monde de l’éducation et, en particulier, entre les partenaires que devraient être représentants du personnel et décideurs du ministère.

En effet, la réalité se résume simplement à un projet dévoilé très tardivement, un calendrier ne permettant pas un dialogue constructif, au contenu même de cette nouvelle loi qui ne devait, à l’origine, concerner que l’instruction obligatoire à trois ans ; ces éléments ne laissent en rien présager de la confiance réciproque nécessaire à la pleine réalisation des missions de l’école de la république. Cela nous laisse l’impression d’un rendez-vous manqué. Dommage…

D’autant plus dommage que pour bâtir cette école de la confiance, les premières pierres posées par le ministre sous les projecteurs des médias sont celles de la fermeture de nombreux postes d’enseignants et, l’UNSA Education ne l’oublie pas, de nombreux postes d’administratifs, ces professionnels peu connus du grand public mais dont l’action efficace est indispensable au bon fonctionnement de l’institution.

Toujours au niveau national, la note de service mobilité publiée au BO spécial du 8 novembre amène quelques modifications majeures dans des opérations aussi sensibles que délicates car touchant l’avenir professionnel et souvent l’avenir familial des collègues.

Ainsi, ce ne serait plus la CAPD qui étudierait et amenderait la note de service départementale mouvement mais ce travail échoirait au CTSD, instance non paritaire puisque le collège des IEN n’y est pas représenté ; instance qui, n’instruisant pas les différentes situations lors des opérations du mouvement, n’a pas la vue globale sur ce dossier essentiel pour la vie, voire la survie dans certaines situations, de l’école et des collègues.

Ce qui me permet une transition facile vers la rentrée dans le Bas-Rhin, rentrée annoncée comme sereine par votre prédécesseur. Toutefois, quelques points semblent ternir un tableau sans doute idyllique et nous interrogent.

Qu’en est-il des effectifs réellement constatés à la rentrée pour le département ?

Rappelons le désaccord apparu en février entre le prévisionnel fait par directeurs et IEN et celui fait par la DSDEN sur la base de chiffres INSEE. Ces derniers prévoyaient une baisse de près de 400 élèves alors que selon les documents de travail que vous nous proposez, le constat est une augmentation de 45 élèves.

Qu’en est-il de la situation du remplacement dans notre département ? S’est-elle améliorée ?
Le constat que nous faisons ne porte pas vers une amélioration mais bien vers une détérioration de la situation. Dans certaines circonscriptions, il a été annoncé dès la rentrée que les absences de moins d’une semaine ne seraient pas remplacées. Lors des stages de formation syndicale, force est de constater que nombre de nos collègues ne sont pas remplacés. Rappelons que cette situation était prévisible et que l’UNSA Education l’avait dénoncée en juin, lors des dernières opérations de carte scolaire. Quelles solutions miracles ont déjà été proposées et mises en place par le chargé de mission attaché à ce dossier ?

Qu’en est-il des écoles où le constat de rentrée a montré que le nombre d’élèves permettait ou une réouverture ou une ouverture ? La promesse de Monsieur l’IA a-t-elle été tenue partout ? Est-ce que ces moyens supplémentaires à l’année ont-ils été partout pris en compte pour l’attribution du temps de décharge ? Il semblerait aussi que dans certaines situations, si un moyen a bien été dépêché, l’assurance d’une pérennité sur l’année ne soit pas assurée. Ici promesse de reconduction période par période, là promesse limitée par un « jusqu’à ce que le collègue soit appelé ailleurs » ; comprendre qu’il ne sera présent que quelques semaines, le temps de calmer l’ire de la représentativité parfois parentale, parfois politique plus ou moins locale. Après, la problématique du remplacement se fera tellement criante que ces personnels seront dépêchés pour panser une crise prévisible et prévue, prévue au moins par l’UNSA Education.

Qu’en est-il du dédoublement des classes de CP en REP et REP+ et de CE1 en REP+ ? L’administration a-t-elle pris la mesure de la pression mise, par les IEN entre autres, sur les collègues officiant dans ces classes ?

Qu’est-il envisagé pour le dédoublement des CE1 en REP ? Sera-t-il mis en place lors des opérations de carte scolaire de cette année ? Avec quels moyens ? Quelle confiance apporter aux prévisions indiquées dans le tableau page 10 du document de travail ?

Qu’en est-il de l’enseignement bilingue ? Les besoins en partie allemande sont-ils tous couverts par des personnels formés ? Si non, combien de contractuels officient cette année ? Allez-vous continuer à ouvrir des sites bilingues alors que vous n’en avez pas les moyens humains ?

Pour les premières questions, les réponses sont dans le document remis. Force est de constater qu’il y a encore 24 ETP contractuels. Reste la dernière question.

Monsieur l’Inspecteur d’Académie, nous attendons vos réponses et vos engagements avec grande impatience. Et si, pour certaines, nous savons que vous allez nous dire que la réponse ne relève pas de vos compétences, nous avons la conviction que vous ferez remonter ces dernières jusqu’au niveau hiérarchique compétent.

Je vous remercie.

Enseignants de l'Unsa 67

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